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J'ai un chagrin d'A(mour)

25 octobre 2010

Parlons peu, mais parlons bien.

Voilà, quelques jours de plus en tant que célibataire, et bizarrement, vous savez quoi ? Ce n'est pas si terrible que ça.

Au début, comme à chaque fois, je me suis sentie tellement mal que j'aurai voulu crever. Le ventre plein de merde, nausées récurrentes, yeux tous gonflés à force de pleurer. Et puis j'en ai vite eu marre. Je me suis dit "Cha, le chagrin, tu l'emmerdes !".

C'est tout con, je me demande même pourquoi je n'y ai pas pensé avant. Se mettre dans des états pas possible, pour une personne qui nous a lâchement laissé tomber, je n'en vois pas l'intérêt, ça n'en vaut pas la peine. Je sais que cette personne ne reviendra jamais, de toute façon, et même si elle voulait revenir, je ne l'en laisserai pas. Ma confiance est cassée, la porte complètement barricadée.

Après tout, la vie est trop courte. J'ai vécu tellement de bons moments avant, il y en a forcément d'autres qui m'attendent. Peu importe qu'ils arrivent seulement dans 10 ans, personne ne peut savoir. Il faut juste être patient. Les bonnes choses arrivent à ceux qui y croient.

Et moi aujourd'hui, j'y crois plus que tout.

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17 octobre 2010

The Social Network

Non cher lecteur, je ne vais pas UNIQUEMENT parler du bordel que mettent mes déboires amoureux dans ma vie. Puisque oui, j'ai une vie. Pas trop remplie, mais une vie quand même. 

social_network

Entre deux larmes, j'ai pris mon courage à deux mains et me suis rendue hier au cinéma (comme vous pourrez le constater par la suite, c'est une chose qui arrive souvent), pour voir The Social Network, film de David Fincher, sorti mercredi.

The Social Network, c'est l'histoire de Mark Zuckerberg, étudiant à Harvard au début des années 2000, et père de l'une des plus grosses drogues du 21ème siècle (selon moi), j'ai nommé Facebook. Je ne vais pas vous ressortir le synopsis entier alors qu'il existe des merveilles de sites, genre allociné, qui sont là pour ça :) Bref, Mark finit par créer Facebook avec l'aide précieuse de quelques amis (ou pas), il devient le géant que tout le monde connait, et soudain, c'est la merde. En fait, non, c'était déjà la merde avant. J'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal les 10, voire 15 bonnes premières minutes du film à comprendre comment se goupillait toute l'histoire, mais ça ne m'a pas empêché de kiffer ma race (avec modération, toutefois). Le film nous apprend plus d'une chose à nous tous, petits membres de FB que nous sommes. Genre que ça a foutu pas mal de merde entre des amis, tout ça pour du fric. Elle est belle l'Amérique ! (ok, vision simpliste de l'affaire, mais j'ai la flèmme en fait).

Blague à part, j'ai aimé. Il ne fait pas partie de mes coups de coeur de l'année, mais je ne regrette pas lui avoir donné 2h de ma triste vie. Jessie Eisenberg interprète son rôle à merveille, et, je l'avoue, j'ai légèrement bavé sur Andrew Garfield, qui joue le rôle d'Eduardo Saverin (quoi, c'est humain tout de même !).

 


17 octobre 2010

Histoire d'un coeur à la ramasse.

Ca y est. Ce matin, après une troisième nuit consécutive passée à pleurer et me morfondre sur ma petite personne, j'ai eu une illumination. 

Et si je créais un blog ? Mais pas dans le genre blog du grand n'importe quoi, comme celui que j'avais au lycée (et qui me manque, d'ailleurs). Non, plutôt dans le genre, je-vais-écrire-sur-ce-que-je-connais-de-mieux, à savoir donc, les déboires amoureux. Non pas que mes vingt-et-un printemps ont vu énormément d'histoires toutes plus catastrophiques les unes que les autres, mais quand même.

Alors voilà, cher lecteur, attends toi à manger du pleurnichage sept jours sur sept, et à avoir l'envie récurrente de me trouver pour m'administrer la paire de claques de ma vie. Sur ce, à très vite.

Bande-son : * Cee-Lo Green : Fuck you

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